Mes ancêtres, les Gaulois (création théâtrale)

En partenariat avec ruedutheatre

Deux mois après le féérique festival « Traverse ! » dans le Haut Val de Sèvre, nous retrouvons le conteur Nicolas Bonneau à Paris. Cette fois, au MAIF Social Club, rue de Turenne, en plein cœur de Paris, pour sa toute dernière création : « Mes ancêtres, les Gaulois ». Un hymne à la petite et grande histoire, à travers un portrait enlevé des anonymes qui la bâtissent.

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Aïe, mes aïeux ! (livre)

Dans ma quête incessante pour comprendre le sens de l’existence, un ami médecin a fini par mes conseiller une lecture Aïe, mes aïeux. Alors que je me baladais le lendemain dans la maison mère d’Actes Sud (à Arles en mai dernier), je suis tombée nez à nez sur le célèbre ouvrage de la psychothérapeute d’origine russe, Anne Ancelin Schützenberger, vendu à plus de 350 000 exemplaires, rappelle ouvertement la première de couverture. Sensible aux signes du destin, je l’ai acheté, puis lu, puis annoté.

Lors de la lecture assidue de ce livre édifiant sur la psychogénéalogie, beaucoup d’éléments de langage m’ont parlé personnellement, intimement et professionnellement : « syndrome d’anniversaire », « répétition inconsciente », « loyauté invisible »… Je crois à la catharsis par la meilleure connaissance de ses ancêtres, de ce qu’ils ont vécu, de ce qu’ils n’ont jamais dit, de ce qu’ils ont eu honte de dire. Bref, à la libération de la parole, qu’elle soit orale et (surtout) écrite. Mon strouk en plume a aussi été créé pour ça : le récit de famille.