Point cardinal (création théâtrale)

En partenariat avec ruedutheatre

Hier, sur la scène du théâtre de Belleville, quelque chose de fort s’est passé. Une communion entre l’attention suspendue du public, et la présence d’un comédien habité. Autour d’un sujet peu banal porté par un texte élégant, organique. Et qui touche à l’universel. Une histoire transgenre, oui. Mais surtout, une histoire de courage.

Découvrez ma critique

Cyrano (théâtre)

En partenariat avec ruedutheatre

Qui aurait pu penser que Cyrano pouvait encore, à ce point, être un régal ? En cause : sa langue, oui, bien sûr. Mais surtout, ces femmes. Non pas « ses » femmes, mais ces trois femmes qui ont choisi, dans un parti-pris résolument féministe, de revêtir caps et épées pour partir à la conquête d’un héroïsme romantique sans genre.

Découvrez ma critique

Célébration (théâtre)

En partenariat avec ruedutheatre

Voir du Harold Pinter un dimanche en matinée, c’est comme voyager dans le temps. Ou, pour être plus précise, voyager dans l’absurdité de notre existence. Critique d’une adaptation réussie de « Célébration », de Harold Pinter, actuellement au – décidément très inspiré – Théâtre de Belleville.

Découvrez ma critique

Mesure pour mesure (théâtre)

En partenariat avec ruedutheatre

Déplacement express dans le centre-ville baroque de Arras pour découvrir une adaptation de « Mesure pour mesure », de Shakespeare. Mis en scène par Arnaud ANCKAERT, dont l’on avait apprécié le travail, notamment pour le festival de lectures contemporaines, Prise Directe, co-crée au côté de Capucine LANGE. Jusqu’à ce point de rupture.

Découvrez ma critique

Breaking the waves (adaptation théâtrale)

En partenariat avec ruedutheatre

Grand prix du Jury, BREAKING THE WAVES défraya la chronique quand il fut présenté pour la première fois en 1996 à Cannes. Le film de Lars Von Trier subjugua autant qu’il fut détesté, ne laissant personne indifférent. En même temps, comment le rester face à une femme qui se sacrifie par amour au point d’aller donner son corps au tout venant ? Le Grand théâtre du Luxembourg propose une adaptation fidèle de ce drame danois à travers le regard engagé de Myriam MULLER.

Découvrez ma critique